Cartes
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Une carte du gouvernement du Québec confirme que le Loblaws est dans le parc de la Gatineau
Bien que la CCN maintient que le Loblaws, Petrocan, Tim Horton’s, etc., n’ont jamais été dans le parc de la Gatineau, cette carte d’Environnement Québec confirme le contraire. La partie surlignée en jaune orange représente les terrains du Loblaws (Ministère de l’Environnement du Québec, Service de l’intégrité du territoire, carte intitulée, « Parcelles fédérales d’origine publique et privée, région administrative de l’Outaouais (04), Municipalité d’Aylmer (partie) et de Hull », août 1979).
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Les terres dites québécoises du parc appartiennent à la CCN, selon une carte d’environnement Québec
Cette carte d’environnement Québec confirme que les terrains du lac La Pêche appartiennent à la CCN. La partie surlignée en jaune orange et délinéée en rouge représente ces terrains. (ministère de l’Environnement du Québec, Service de l’intégrité du territoire, carte intitulée, « Parc de la Gatineau, Région administrative de l’Outaouais (07) », août 1979).
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Une carte de la CCN confirme que le Loblaws est dans le parc de la Gatineau
Le Concept d’aménagement du parc de la Gatineau et propositions d’aménagement préliminaires , (Commission de la capitale nationale, 1976, carte no. 3, p. 8) confirme que le Loblaws, Tim Hortons, Petrocan, etc., du boulevard St-Raymond sont dans le parc de la Gatineau.
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Les terres dites québécoises dans le parc de la Gatineau
La CCN prétend que les terrains hachurés en bleu sur cette carte appartiennent au gouvernement du Québec, bien qu’ils aient été transférés au gouvernement fédéral en 1973. Par ailleurs, la CCN verse les paiements tenant lieu d’impôts fonciers pour ces 12 500 acres de terrains dans le parc.
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Propriétés privées du lac Meech
Un zoom d’un carte de la CCN permet de constater à quel point les propriétés privées du lac Meech étranglent les infrastructures du parc et minent l’accès public.
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Propriétés privées du secteur Kingsmere
Un zoom d’un carte de la CCN permet de constater à quel point les propriétés privées du secteur Kingsmere agissent comme une barricade limitant l’accès du public.